Le Déroulement des Faits
Mercredi soir, près du Miroir d’eau à Bordeaux, une attaque au couteau a secoué la ville, laissant une personne morte et une autre grièvement blessée. Les circonstances de cette tragédie ont rapidement suscité l’intérêt des autorités et du public. Peu avant 20 heures, un individu a soudainement agressé deux personnes, portant des coups mortels à l’une et infligeant des blessures graves à l’autre. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux ont capturé une partie de l’incident, montrant l’agresseur en action et le moment où il a été abattu par la police près du pont de pierre.
Les Motifs de l’Agresseur
Alors que les premières spéculations ont évoqué la possibilité d’un acte terroriste, cette piste a rapidement été écartée par les enquêteurs. Selon une source proche de l’enquête, l’incident semble avoir été déclenché par un différend lié à la consommation d’alcool des victimes. Des témoins ont rapporté que l’agresseur aurait reproché à deux hommes de nationalité algérienne de boire de l’alcool, ce qui aurait conduit à une altercation violente.
Les Victimes et l’Identité de l’Agresseur
Les victimes de cette attaque tragique sont également de nationalité algérienne. L’homme décédé, nommé Daoud et âgé de 36 ans, aurait été impliqué dans un échange houleux avec l’agresseur avant que la situation ne dégénère. Le blessé, dans la vingtaine, lutte actuellement pour sa vie. Quant à l’agresseur, décrit par des témoins comme portant un turban, son identité reste inconnue à ce stade de l’enquête.
Les Suites de l’Enquête
Le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, a sobrement déclaré sur Twitter que l’enquête était en cours. La procureure de la République, Frédérique Porterie, s’est rendue sur les lieux, mais aucune information supplémentaire n’a été communiquée à la presse pour le moment. Les détails sur l’avancement de l’enquête devraient être révélés dans les prochains jours. Le Service Interdépartemental de Police Judiciaire de Bordeaux est actuellement chargé de l’affaire, et l’Inspection Générale de la Police Nationale devrait être saisie pour examiner les circonstances entourant l’utilisation de l’arme par le policier.