Les fêtes clandestines du Thoronet et du Cannet-des-Maures rassemblent plus de 2 500 fêtards venant de toute l’Europe.

Quoi s’est-il passé lors des rave-partys illégales du Nouvel An au Thoronet et au Cannet-des-Maures, et pourquoi cela suscite-t-il l’attention ?

Les communes du Thoronet et du Cannet-des-Maures ont été le théâtre de deux rassemblements illégaux du Nouvel An, attirant plus de 2 500 participants venus de différents coins de l’Europe. Entre festivités et répression, les événements ont été marqués par des contraventions, des arrestations et une condamnation.

Qui étaient les participants et où se sont déroulées les festivités ?

Les fêtards, au nombre de 800 à 1 000 au Thoronet et environ 1 500 au Cannet-des-Maures, ont convergé vers ces lieux, le premier étant l’ancienne mine de bauxite de Peygros, et le second, le domaine du Balançan, dans la réserve naturelle de la plaine des Maures.

Combien de temps ont duré ces rassemblements et quels en ont été les impacts ?

Commencées le 29 décembre, les festivités ont pris fin le 2 janvier 2024. Les participants, venus parfois de loin, ont campé sur place. Bien que les événements aient été relativement paisibles, la gendarmerie a effectué des contrôles intensifs.

Quelles sont les conséquences légales de ces rave-partys ?

Un individu a été arrêté avec des stupéfiants et de l’argent liquide, conduisant à une condamnation à 18 mois de prison. De plus, 151 contraventions ont été dressées pour des infractions au code rural et au code de l’environnement, notamment des stationnements en milieu protégé et des atteintes à l’environnement. Vingt-et-un participants ont écopé d’amendes pour usage de stupéfiants, et des procédures sont en cours contre les organisateurs.

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