Dans le cadre de la récente intervention des gendarmes à la clinique de santé mentale Inicea (groupe Korian), spécialisée dans la réhabilitation psychosociale, une situation étonnante s’est déroulée. À la demande du responsable de l’établissement, les forces de l’ordre ont effectué un contrôle inhabituel. Quelles raisons ont conduit à cette action surprenante au sein d’une clinique dédiée à la santé mentale ?
Les autorités de Hyères ont intensifié leur combat contre les stupéfiants en menant un contrôle ciblé à la clinique du Val du Fenouillet, La Crau. Jeudi dernier, entre 9h et 10h30, les gendarmes, agissant à la demande de la direction de l’établissement, ont entrepris une opération préventive dans le cadre de la lutte anti-stupéfiants.
Inicea, établissement dédié à la réhabilitation psychosociale, a pour mission de répondre aux besoins de soins des patients âgés de 18 à 35 ans souffrant de troubles psychiques au long cours. Cependant, le récent contrôle suggère une tournure inattendue dans son fonctionnement habituel. Quelle est la nature exacte de cette clinique, et comment s’inscrit-elle dans le paysage des établissements de santé mentale ?
Les forces de l’ordre, assistées d’un maître-chien, ont minutieusement inspecté les parties communes de la clinique, mettant également certaines chambres sous le radar du fidèle compagnon canin. L’objectif était clair: détecter toute trace de produits stupéfiants qui pourrait compromettre la sécurité et l’intégrité de l’établissement.
Au cours de cette opération, les gendarmes ont fait une découverte surprenante mais préoccupante. Deux pochettes de CBD, substance connue sous le nom de cannabidiol non médical, ont été identifiées dans certaines chambres de la clinique. Cette découverte a immédiatement été portée à l’attention de la direction de l’établissement, soucieuse de maintenir un environnement conforme aux règlements internes interdisant la consommation de ce produit.
