Un commerçant de Rouen en garde à vue pour viol sur une adolescente de 16 ans
Un homme de 29 ans, gérant d’un commerce au centre-ville de Rouen, a été interpellé mercredi 6 août 2025 devant son domicile. Il est suspecté d’avoir commis un viol sur une adolescente de 16 ans. Selon les informations rapportées par ICI Normandie, l’homme a été arrêté par les forces de l’ordre devant son domicile situé rive gauche. C’est dans ce lieu que l’adolescente affirme avoir subi l’agression.
L’individu, âgé de 29 ans, a été placé en garde à vue pour des accusations de viol sur une mineure de 16 ans. Les policiers l’ont interpellé mercredi 6 août 2025 devant son domicile. Il est le patron d’un commerce situé dans le centre-ville de Rouen. L’adolescente a déclaré avoir été violée à l’intérieur de ce domicile.
Les autorités locales ont ouvert une enquête pour viol, comme l’a confirmé le procureur de Rouen, Sébastien Gallois. L’homme, déjà connu des services de police pour des faits d’exhibition et de tentative de viol, a été identifié et interpellé tôt ce mercredi à son domicile.
Cette affaire soulève de nombreuses questions sur la sécurité des jeunes dans notre société. Les détails de cette enquête continuent de se dévoiler, et les autorités appellent toute personne ayant des informations à se manifester. Les circonstances exactes de cette agression restent à éclaircir, mais les forces de l’ordre travaillent activement sur ce dossier.
Les habitants de Rouen sont sous le choc suite à cette révélation. La communauté locale se mobilise pour soutenir la victime et sa famille. Des rassemblements et des discussions sont prévus pour aborder les questions de sécurité et de protection des mineurs dans la ville.
Les autorités rappellent l’importance de la vigilance et de la protection des jeunes. Des mesures supplémentaires pourraient être mises en place pour renforcer la sécurité dans les zones sensibles. Les associations locales se tiennent prêtes à offrir un soutien psychologique et juridique à la victime et à sa famille.
La ville de Rouen est en état d’alerte suite à cet événement tragique. Les citoyens sont invités à rester vigilants et à signaler tout comportement suspect. Les forces de l’ordre continuent leurs investigations pour faire toute la lumière sur cette affaire. Source
Meurtre et viol à Tarbes : une enquête en cours après une découverte macabre
Une femme de 58 ans a été retrouvée sans vie dans les rues de Tarbes, le 30 juillet dernier. Les autorités locales ont rapidement ouvert une enquête pour meurtre et viol. Le corps, découvert vers 6h15, présentait des signes d’arrêt cardio-respiratoire.
Selon des sources proches de l’enquête, l’autopsie a révélé des fractures et des hématomes. Ces éléments, associés à des traces de viol, ont conduit les enquêteurs à privilégier la piste criminelle. Initialement, les signes de dépression de la victime avaient orienté les recherches vers un possible suicide.
Le Service interdépartemental de la police judiciaire de Toulouse a été saisi de l’affaire. Les investigations se poursuivent pour déterminer les circonstances exactes de ce drame. Les autorités appellent toute personne détenant des informations à se manifester. Source
Viol présumé lors du festival Electr’au Dub en Vendée : une enquête ouverte
Lors du festival Electr’au Dub, qui s’est déroulé les 25 et 26 juillet 2025 à Saint-Georges-de-Montaigu en Vendée, un incident grave a été signalé. En effet, une femme a dénoncé un viol survenu dans le camping du festival. Cet événement a jeté une ombre sur ce rassemblement festif qui a attiré plus de 8 000 participants, dont 2 500 campeurs.
Les gendarmes ont immédiatement ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette affaire. Les autorités locales prennent cette accusation très au sérieux et mettent tout en œuvre pour rassembler les preuves nécessaires et identifier les responsables.
Le festival Electr’au Dub est un événement annuel très attendu, mêlant musique électro et reggae, et attirant des milliers de festivaliers chaque année. Malgré cet incident, les organisateurs ont réaffirmé leur engagement à assurer la sécurité et le bien-être de tous les participants.
Les festivaliers présents ont été invités à coopérer avec les enquêteurs et à fournir toute information susceptible d’aider à l’enquête. Les organisateurs du festival ont également exprimé leur soutien à la victime et ont réitéré leur volonté de maintenir un environnement sûr et respectueux pour tous. Source
Un policier de Fontainebleau accusé de viol : quelles sont les implications ?
Un policier municipal de Fontainebleau, âgé de 37 ans, est actuellement mis en examen pour des accusations de viol aggravé sur deux prostituées roumaines. Les faits se seraient produits début juillet 2025. Selon les informations rapportées par Le Parisien, l’homme aurait utilisé son statut pour intimider et abuser de ses victimes.
Placé en garde à vue le 18 juillet 2025, le policier a été inculpé deux jours plus tard. Son avocat le décrit comme un « petit policier sans arme ». Les premières investigations révèlent qu’il aurait contacté les victimes via un site spécialisé, se présentant en uniforme pour les effrayer avant de commettre les agressions. Un collègue, présent lors des faits, a été entendu comme témoin assisté.
La mairie de Fontainebleau a suspendu les deux policiers impliqués, qualifiant les faits d' »extrême gravité ». Le principal suspect, actuellement incarcéré à Fleury-Mérogis, nie fermement les accusations. Il affirme avoir bénéficié de services gratuits, une version contestée par les plaignantes.
L’enquête a permis d’identifier douze autres femmes contactées par le suspect. Les autorités craignent des pressions sur ces potentielles victimes. La demande de libération du policier a été rejetée par la justice le 1er août, invoquant un risque de manipulation des témoins.
Les investigations se poursuivent pour déterminer s’il existe d’autres victimes. La gravité des accusations soulève des questions sur l’intégrité et la surveillance des forces de l’ordre. Source
Un député australien condamné pour viol refuse de quitter son poste
Un député australien, récemment reconnu coupable de viol, résiste aux pressions pour démissionner. Gareth Ward, membre de la Chambre des représentants de Nouvelle-Galles du Sud, a été condamné pour viol et agressions sexuelles en juillet 2025. Actuellement détenu à la prison de Silverwater, il prépare son appel tout en luttant pour conserver son poste.
Ward, âgé de 44 ans et député indépendant de Kiama depuis 2011, a été reconnu coupable d’agressions sexuelles sur deux jeunes hommes. Malgré le verdict, il refuse de démissionner, forçant la Chambre des représentants à engager une procédure d’expulsion. Ses avocats ont obtenu des injonctions de la Cour suprême pour bloquer cette procédure, une décision qui a suscité l’indignation.
Chris Minns, Premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud, a exprimé son mécontentement. Il a dénoncé le fait qu’un homme condamné pour de tels crimes puisse rester en fonction. Minns a réitéré son appel à la démission de Ward, soulignant l’incompatibilité de sa position avec ses actes. Source
Toulouse : La nomination d’un prêtre condamné ébranle la communauté catholique
La nomination récente d’un prêtre condamné pour violences sexuelles au poste de chancelier a provoqué une onde de choc parmi les fidèles du diocèse de Toulouse. Cette décision de l’archevêque Guy de Kerimel a suscité incompréhension et colère, remettant en question la gestion des affaires ecclésiastiques.
Sous la voûte étoilée de l’église Saint-Nicolas, à Toulouse, une quarantaine de fidèles assistent à la messe dominicale. Ils se lèvent pour la communion, confiants dans le prêtre qui les guide spirituellement. Pourtant, derrière cette apparente sérénité, un malaise persiste. La nomination de l’abbé Dominique Spina, condamné en 2006 pour viol sur mineur, a profondément ébranlé la communauté.
Elizabeth, une paroissienne de 75 ans, exprime son indignation : « C’est une insulte envers toutes les victimes de maltraitance, au sein et en dehors de l’Église. » Cette nomination, perçue comme un manque de sensibilité, a jeté une ombre sur la confiance des fidèles envers leur hiérarchie.
La décision de Mgr Guy de Kerimel soulève des questions sur les critères de sélection des responsables ecclésiastiques. Les paroissiens se demandent comment un tel choix peut être justifié, surtout dans un contexte où l’Église tente de se reconstruire après de multiples scandales.
Cette affaire met en lumière les tensions persistantes au sein de l’Église catholique, entre tradition et nécessité de réforme. Les fidèles, tout en cherchant à préserver leur foi, sont de plus en plus nombreux à exiger des comptes et une transparence accrue de la part de leurs dirigeants.
Quelle sera la suite pour le diocèse de Toulouse ? Comment les fidèles vont-ils réagir face à cette décision controversée ? La communauté catholique attend des réponses claires et des actions concrètes pour restaurer la confiance. Source
Dijon : Le libertinage en question après une affaire de viol présumé
Un homme de 62 ans a été mis en examen à Dijon pour viol aggravé sur son épouse lors d’une soirée libertine. Cette affaire soulève des questions cruciales sur le consentement et les limites du libertinage. Selon l’avocate de l’homme, les relations étaient consenties et faisaient partie des pratiques libertines assumées par le couple. Cependant, le témoignage d’un participant à la soirée et les déclarations de l’épouse remettent en cause cette version des faits.
Le consentement, une frontière floue Julien et Émilie, un couple dans la trentaine, pratiquent le libertinage de manière équilibrée. Ils affirment que la communication et l’accord mutuel sont essentiels. « Je rencontre d’autres hommes, mais toujours avec l’accord de Julien », explique Émilie. Julien, son compagnon, ajoute : « Je suis toujours présent, parfois en tant que simple spectateur. » Cependant, Vincent, un autre homme, estime que le libertinage a provoqué la fin de son couple. « Elle est vite allée voir d’autres hommes, mais je n’ai pas eu cette opportunité », témoigne-t-il. Le déséquilibre s’est installé, et quelques mois plus tard, elle est partie.
Une soirée qui tourne au drame Dans la nuit du jeudi 1er au vendredi 2 août à Dijon, un homme a contacté la police après avoir participé à une soirée libertine. Il a déclaré avoir reçu une fellation de l’épouse de son hôte, mais a douté de son consentement. La police a découvert que deux hommes avaient été invités à des moments différents dans la soirée par l’époux. Ce dernier a été rapidement interpellé, placé en garde à vue, puis mis en examen pour viol aggravé et incarcéré.
L’homme de 62 ans nie fermement toute absence de consentement. Son avocate, Maître Nathalie Lepert-de-Courville, explique que le couple pratiquait le libertinage de manière ponctuelle. Elle affirme que son client a publié des annonces sur des sites de rencontre, à condition que le couple en exprime l’envie. « Ce soir-là, il y a bien eu deux hommes invités. Mon client affirme que son épouse était consentante », indique Me Lepert-de-Courville. Cependant, l’avocate reconnaît que la femme n’a pas souhaité porter plainte, tout en exprimant son désir de divorcer. Source
La CEDH relance l’affaire Luc Besson : un espoir pour Sand Van Roy ?
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a jugé recevable la requête de l’actrice Sand Van Roy contre l’État français. Cette décision relance l’affaire Luc Besson, accusé de viol par l’actrice en 2018. Malgré l’abandon des poursuites en France, la CEDH pourrait sanctionner l’État français pour ne pas avoir respecté ses obligations.
Sand Van Roy avait porté plainte contre Luc Besson en mai 2018, après une nuit au Bristol où elle affirme avoir subi une agression sexuelle. La plainte avait été classée sans suite en février 2019, mais l’actrice a continué à se battre. En 2019, elle avait marqué les esprits au Festival de Cannes avec un tatouage éphémère « Stop violence against women ».
L’actrice belge-néerlandaise de 37 ans dénonce une enquête préliminaire incomplète et des propos sexistes de la part de l’expert psychiatre. Selon une enquête de Vanity Fair, ce dernier avait tenu des propos déconcertants, affirmant que Sand Van Roy ne se voyait pas comme future mère, révélant un état névrotique.
La relation entre Sand Van Roy et Luc Besson, rencontrés lors du casting de « Valérian et la Cité des mille planètes », est décrite comme toxique par l’actrice. Elle évoque un « système punition-récompense » dont elle se sentait prisonnière. Malgré plusieurs relations sexuelles, elle affirme les avoir subies dans un état de confusion, par crainte d’être « coupée au montage ».
L’enquête judiciaire, rouverte en octobre 2019, avait abouti à un non-lieu en décembre 2021, confirmé en appel en 2022. En juin 2023, la Cour de cassation avait rejeté le pourvoi de Sand Van Roy, qui avait alors décidé de saisir la CEDH. Cette dernière pourrait sanctionner l’État français si elle reconnaît que la France n’a pas respecté son obligation de poursuivre les actes sexuels non consentis. Source
Achraf Hakimi face à la justice : quel impact sur sa carrière et le PSG ?
Achraf Hakimi, star montante du Paris Saint-Germain, se retrouve sous les projecteurs pour des raisons bien différentes de ses performances sportives. Le parquet de Nanterre a requis son renvoi devant une juridiction pénale pour viol. Cette affaire, ouverte il y a deux ans et demi, pourrait avoir des répercussions majeures sur sa carrière et son club.
Hakimi, âgé de 26 ans, a connu une saison exceptionnelle avec le PSG. Il a été déterminant dans la victoire en Ligue des champions. Ses performances lui ont même valu d’être cité parmi les favoris pour le Ballon d’Or. Pourtant, cette enquête pour viol, ouverte en février 2023, assombrit son parcours.
Le joueur marocain nie fermement les accusations. Il évoque une tentative de chantage et a déposé une plainte pour racket. Son avocat qualifie les réquisitions de « incompréhensibles et insensées ». Hakimi affirme que toutes les voies de recours seront exercées si nécessaire.
Kylian Mbappé, son coéquipier et ami, a témoigné en sa faveur. Il a décrit Hakimi comme respectueux envers les femmes. Mbappé a souligné que, même sous l’influence de l’alcool, il n’a jamais vu Hakimi adopter un comportement déplacé.
Le PSG, de son côté, réitère son soutien à son joueur. Le club renvoie à un communiqué de février 2023, affirmant faire confiance à la justice. Cette affaire rappelle d’autres cas similaires dans le football français. Benjamin Mendy et Mason Greenwood ont également été confrontés à des accusations de violences sexuelles.
L’affaire Hakimi soulève des questions sur la gestion des accusations de violences sexuelles dans le football. Thomas Partey, récemment inculpé pour des faits similaires, a été recruté par Villarreal. Ces cas montrent que les accusations de violences sexuelles n’entravent pas toujours les carrières. Source
Qui a commis ce meurtre atroce dans les Hautes-Pyrénées ?
Dans les Hautes-Pyrénées, une enquête pour meurtre et viol a été ouverte après la découverte du corps d’une femme de 58 ans. Selon les informations, le cadavre a été retrouvé en pleine rue mercredi 30 juillet à Tarbes. Les résultats de l’autopsie ont révélé des fractures, des hématomes et des traces de viol.
La victime, dont l’identité n’a pas encore été divulguée, a été découverte en état d’arrêt cardio-respiratoire. Les autorités locales ont immédiatement lancé une enquête pour déterminer les circonstances de ce crime odieux. Les premiers éléments de l’enquête suggèrent que la femme aurait été agressée avant d’être abandonnée dans la rue.
Les forces de l’ordre ont commencé à recueillir des témoignages et des indices sur les lieux du crime. Elles espèrent ainsi identifier rapidement le ou les auteurs de ce meurtre. Les habitants de Tarbes sont sous le choc et expriment leur inquiétude face à cette tragédie.
Les investigations se poursuivent et les autorités appellent toute personne détenant des informations à se manifester. La communauté locale est invitée à rester vigilante et à collaborer avec les forces de l’ordre pour éclaircir cette affaire. Source
