Dans l’attente angoissante de la libération de son petit-fils, Jocelyne, la grand-mère niçoise d’Eitan, partage le calvaire vécu par la famille depuis le 7 octobre, date de l’enlèvement. Alors que l’accord entre Israël et le Hamas suscite des espoirs, l’absence d’informations précises plonge la famille dans une attente insupportable.
La trêve, prévue à 10 heures ce jeudi, laisse la famille dans une incertitude totale. Combien d’otages, dont Eitan, seront libérés dans ce premier contingent de douze personnes? Les autorités israéliennes restent silencieuses, laissant les proches dans l’angoisse. Jocelyne s’interroge sur la fixité de la liste et la nécessité de rassurer les familles.
Les préoccupations de la grand-mère ne se limitent pas à la situation d’Eitan. Elle souligne le nombre d’enfants encore plus jeunes que lui parmi les otages et s’inquiète de leur sort. Dans une touchante confession, elle exprime le désir que son petit-fils, traumatisé par les 45 jours passés dans des tunnels, retrouve l’espoir.
L’article explore les pensées profondes de Jocelyne, évoquant les sévices possibles subis par Eitan et les épreuves qu’il a traversées. Alors que la famille endure l’innommable, la grand-mère reste déterminée à rester en Israël, offrant un soutien indispensable à sa fille et aux autres petits-enfants.
En toile de fond, l’article dévoile les statistiques poignantes des otages, soulignant que parmi les 223 détenus par le Hamas, 35 sont des mineurs et 65 sont des femmes, dont huit de nationalité française.
