Violences à la piscine Garibaldi : un homme arrêté pour viol sur mineur
Un enfant de 13 ans a été victime d’un viol à la piscine municipale Garibaldi de Lyon le 7 avril. Le suspect, arrêté le jour même, a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il lui est interdit d’accéder aux lieux fréquentés par des mineurs.
La Ville de Lyon condamne fermement ces actes. Elle assure sa pleine coopération avec la justice pour faire toute la lumière sur cette affaire. Cette agression survient peu après une autre affaire d’agression sexuelle dans le même établissement fin mars.
Le parquet de Lyon a ouvert une information judiciaire pour viol sur mineur de 15 ans. Le suspect, interpellé le 7 avril, a été présenté à un juge d’instruction le 9 avril. Il est désormais sous contrôle judiciaire avec interdiction d’accéder aux piscines et établissements sportifs accueillant des mineurs. Il ne peut plus exercer d’activité impliquant un contact avec des mineurs.
La Ville de Lyon a publié un communiqué condamnant toute forme de violence. Elle espère que les faits donneront lieu à des sanctions sévères. Aucune mesure de sécurité supplémentaire n’est prévue pour l’instant dans les piscines municipales.
Cette affaire intervient dans un contexte déjà tendu pour la piscine Garibaldi. Fin mars, un autre homme avait été interpellé pour des agressions sexuelles sur plusieurs femmes. Les agents de la Ville avaient alors rapidement identifié le suspect, facilitant son arrestation. Source
Un détenu lynché à Bordeaux : la violence carcérale révélée
Mardi 22 avril 2025, un homme incarcéré à la prison de Bordeaux-Gradignan a subi une violente agression. Placé en détention provisoire depuis octobre 2021, il a été roué de coups par une dizaine de codétenus. Ces derniers venaient d’apprendre qu’il était accusé de viols. Une enquête pour « violences volontaires ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours » a été ouverte.
La scène s’est déroulée dans la cour du bâtiment A. Un détenu a filmé l’agression depuis sa cellule et diffusé la vidéo sur les réseaux sociaux. Les images montrent la victime, presque inconsciente, subissant des coups de pied et de poing. Ses agresseurs l’insultent tandis que d’autres prisonniers émettent des cris d’animaux.
Selon Le Figaro, la victime avait été écrouée après une mise en examen pour plusieurs viols. Pour éviter les violences en prison, les détenus accusés de tels crimes mentent souvent sur les motifs de leur incarcération. Cependant, les agresseurs ont récemment découvert la vérité.
Plusieurs agresseurs ont été identifiés grâce à la vidéo. Ils feront l’objet de sanctions disciplinaires avant de comparaître devant la justice. Depuis l’incident, la victime a été transférée dans un autre quartier de la prison.
Cet événement soulève des questions sur la sécurité et la gestion des informations au sein des établissements pénitentiaires. Comment prévenir de telles violences ? Les mesures actuelles sont-elles suffisantes ? Source
Festival d’Angoulême : Une enquête judiciaire ouverte après une plainte pour viol
Le Festival International de la Bande Dessinée (FIBD) d’Angoulême est secoué par une affaire judiciaire. Une ex-salariée de la société organisatrice, 9eArt+, a déposé plainte pour viol. L’incident aurait eu lieu lors de l’édition 2024 du festival. Le parquet d’Angoulême a ouvert une information judiciaire suite à cette plainte.
La plaignante, licenciée depuis, accuse un viol survenu le 26 janvier 2024. Elle avait déposé plainte le 12 février 2024 dans un commissariat parisien. Cependant, cette plainte n’a été transmise au parquet d’Angoulême que récemment, le 11 février dernier. La procureure Stéphanie Aouine a confirmé l’ouverture de l’enquête la semaine dernière.
L’avocat de la plaignante, Me Arié Alimi, se réjouit de cette avancée. Il déplore néanmoins les dysfonctionnements initiaux de l’enquête. La plaignante, licenciée le 14 mars 2024, conteste son renvoi. Elle estime que celui-ci est lié à sa dénonciation du viol. Elle a saisi le conseil des prud’hommes de Paris pour faire valoir ses droits.
La société 9eArt+ réfute ces accusations. Elle affirme avoir respecté ses obligations envers l’employée. La direction justifie le licenciement par un comportement incompatible avec l’image de l’entreprise. Elle évoque des états d’ébriété répétés durant le festival. Me Alimi espère que 9eArt+ reconnaîtra ses torts.
Depuis janvier, 9eArt+ fait face à des critiques. Une enquête de L’Humanité magazine a révélé des dérives commerciales et un manque de transparence. Le traitement de cette salariée a également été pointé du doigt. Plus de 400 auteurs de BD ont signé un appel au boycott de l’édition 2026. Ils demandent à l’association fondatrice du FIBD de rompre son contrat avec 9eArt+.
Le conseil d’administration de l’association a acté la rupture du contrat avec 9eArt+. Cependant, l’incertitude demeure quant à la future organisation du festival. Source
Libération choquante : Un violeur en liberté malgré le suicide de sa victime
La cour d’appel de Rennes a libéré un homme de 26 ans, mis en examen pour viol, malgré des preuves accablantes et le suicide de sa victime. Les juges ont justifié cette décision par une prétendue compréhension du consentement par l’accusé.
Les faits remontent à mai 2023. Une jeune femme de 20 ans, invitée à une soirée, s’endort après avoir consommé de l’alcool. Profitant de son inconscience, un homme la viole. La victime se réveille en sursaut, subit une tentative de sodomie douloureuse, puis parvient à s’échapper. Elle dépose plainte dès le lendemain.
L’agresseur, placé en garde à vue, nie d’abord les faits avant de les reconnaître. Une vidéo compromettante, retrouvée sur son téléphone, confirme l’agression. Deux ex-compagnes de l’accusé témoignent de violences similaires subies durant leur sommeil. L’une maintient ses accusations, l’autre déclare ne pas s’y être opposée.
En février, la victime, profondément dépressive depuis l’agression, met fin à ses jours. Le parquet général, non informé de ce décès, l’apprend en pleine audience. Malgré ces éléments, la cour d’appel de Rennes libère l’accusé le 18 avril. Les juges évoquent des expertises psychologiques rassurantes et l’absence de pulsions sexuelles incontrôlables. L’avocat général, insistant sur le risque de récidive, n’est pas entendu.
L’accusé, désormais sous contrôle judiciaire, attend son procès en liberté. Il a plaidé pour une seconde chance, arguant d’un projet d’avenir et d’un emploi de chauffeur-livreur. Cette décision soulève des questions sur la justice et la protection des victimes. Source
Détention prolongée pour le sexagénaire accusé de viols à La Gacilly
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes a décidé, ce vendredi 18 avril 2025, de maintenir en détention provisoire un père de famille de La Gacilly (Morbihan). Ce dernier est accusé de « viol » et « agression sexuelle » sur deux amies mineures de sa fille. Son procès se tiendra les 25 et 26 septembre 2025 devant la cour criminelle départementale du Morbihan.
L’affaire a débuté lorsque le procureur de Rennes a reçu un signalement d’une infirmière scolaire de Redon. Cette dernière avait recueilli le témoignage d’une élève de 15 ans, décrivant des abus sexuels. La jeune fille avait accepté un rendez-vous avec le prévenu, pensant récupérer des cigarettes. Cependant, elle s’est retrouvée seule avec lui dans sa voiture, où il lui a imposé des attouchements. Elle a réussi à s’échapper en prétextant un message de sa mère. Malgré l’effacement des 901 messages échangés entre eux par la fille du prévenu, les enquêteurs ont pu reconstituer les faits.
Une autre plainte a été déposée par une adolescente de 17 ans. Elle affirme que le sexagénaire l’a ramenée chez elle après un rendez-vous pour un stage. Il a dévié de la route et l’a agressée près d’un étang. L’examen médico-légal a confirmé les lésions compatibles avec les faits décrits.
Le prévenu, ancien légionnaire, a admis avoir « dérapé » mais nie toute intention sexuelle. Détenu depuis août 2023, il souhaitait retrouver son emploi et s’occuper de sa famille. Cependant, les avocats des parties civiles craignaient des pressions sur les victimes en cas de libération. La cour d’appel de Rennes a donc maintenu sa détention provisoire, conformément aux réquisitions de l’avocat général. Source
Viol et harcèlement à Brest : un accusé absent à son procès
Un homme de 44 ans comparaît, depuis ce mercredi 23 avril, devant la cour d’assises du Finistère à Quimper. Il est accusé de viol en récidive, de harcèlement moral et de menaces de mort envers son ex-compagne. L’accusé, bien que détenu, continue de harceler sa victime depuis sa cellule. Cependant, il refuse d’assister à son propre procès.
La victime, une jeune mère de famille, témoigne à la barre. Elle exprime sa déception et son incompréhension face à l’absence de son ex-compagnon. « Il m’a toujours dit qu’il serait là. Jusqu’à ce matin, il était censé être là », déclare-t-elle. Son récit dévoile une relation marquée par l’emprise et les violences.
Les faits remontent à fin mai 2023. Après une période de harcèlement, l’accusé aurait violé son ex-compagne à Brest. Ces actes lui valent aujourd’hui d’être jugé pour des crimes graves. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Le procès se déroule donc en l’absence de l’accusé. La cour doit statuer sur des faits d’une extrême gravité. La victime, quant à elle, espère que justice sera rendue. Elle attend des réponses et une reconnaissance des souffrances endurées. Source