François Bayrou face au silence brisé de sa fille : choc au sommet de l’État

Hélène Perlant, fille aînée de François Bayrou, vient de livrer un témoignage glaçant qui secoue l’opinion publique. Dans un entretien accordé à Paris Match, elle révèle avoir été victime de violences physiques lorsqu’elle était adolescente, durant un camp d’été organisé par la congrégation de Bétharram. Trente ans de silence, motivés par la honte, la peur, mais aussi par une volonté de protéger son père, aujourd’hui Premier ministre.

Les faits, selon elle, se sont déroulés dans l’indifférence d’un système qu’elle qualifie de « sectaire » et « totalitaire ». Tirée au sol, rouée de coups, Hélène parle aujourd’hui, enfin, dans Le Silence de Bétharram, un livre collectif coordonné par Alain Esquerre, lui aussi ancien pensionnaire de l’établissement et fondateur d’un collectif de victimes.

Ce témoignage intervient à un moment clé : François Bayrou doit être auditionné le 14 mai prochain par la commission parlementaire chargée d’enquêter sur les violences perpétrées à Bétharram. Un témoignage qui bouleverse le calendrier politique. Un proche évoque un Premier ministre « profondément touché », découvrant avec stupeur que sa propre fille a subi ce que l’on reproche aujourd’hui à cette institution religieuse.

Dans ses mots, Hélène confie : « Il ne sait pas que je suis victime, et il ne sait pas que je vais témoigner comme victime. » Elle évoque une société aveugle, un silence collectif pesant, et un déni qui a protégé les agresseurs pendant trop longtemps. Une sortie médiatique inattendue, qui met à mal la stratégie de défense d’un chef du gouvernement déjà sous pression.

Les lecteurs sont invités à réagir en commentaire : que révèle cette affaire sur le silence institutionnel ?

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