Plans d’attaque approuvés : l’armée américaine en alerte
Donald Trump n’a pas encore donné l’ordre d’attaquer l’Iran. Pourtant, les plans d’une opération militaire sont déjà validés. Des sources américaines crédibles comme le Wall Street Journal et le Washington Post révèlent que Trump a approuvé des stratégies ciblant des sites nucléaires iraniens. L’armée a repositionné ses navires et ses avions dans la région. L’objectif affiché est clair : dissuader l’Iran de poursuivre son programme nucléaire.
Pourquoi Trump hésite encore à frapper ?
Le président américain garde une position ambiguë. Il consulte ses conseillers, notamment sur l’usage de bombes capables de percer les bunkers iraniens. Son dilemme ? S’assurer que toute intervention soit rapide, efficace et qu’elle ne conduise pas à un conflit prolongé. Selon ses propres mots, il veut éviter une guerre qui « durerait des années ». La prudence domine ses décisions.
Des déclarations qui entretiennent l’incertitude
Interrogé sur ses intentions, Donald Trump a entretenu le flou. « Je pourrais bombarder, peut-être pas », a-t-il répondu. Cette ambiguïté semble volontaire. Elle vise à maintenir la pression sur l’Iran sans s’engager trop vite. Sur Truth Social, il affirme contrôler le ciel iranien. Il décrit l’Iran comme « sans défense » face à la puissance américaine. Ces propos enflamment les débats internationaux.
Un démenti officiel, mais une menace qui plane
Le 19 juin 2025, Donald Trump a nié avoir donné un feu vert définitif à une attaque. Il indique que sa décision pourrait intervenir dans les deux prochaines semaines. Il précise qu’une négociation est encore envisageable. Des discussions discrètes ont lieu entre un émissaire américain et le ministre iranien des Affaires étrangères. Elles restent cependant sporadiques.
Quelle implication américaine dans le conflit Israël-Iran ?
Les États-Unis renforcent leur présence militaire. Trente avions ravitailleurs ont été déployés dans la zone. Cette force donne à Trump la capacité de frapper rapidement en cas d’urgence. L’ambassadeur israélien en France affirme que les Américains sont « prêts à attaquer immédiatement » si le président en décide ainsi. Mais la décision finale reste suspendue.
Une décision suspendue à un fil
Donald Trump joue la carte de la dissuasion tout en préparant ses forces. Il laisse planer le doute pour obtenir des concessions diplomatiques. La communauté internationale reste en alerte. Le monde attend désormais de voir si la diplomatie l’emportera sur les armes.
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