Sécurité et justice en question après plusieurs affaires de viols.

Un Clandestin Multicondamné Suspecté du Viol de Claire Geronimi à Paris

Le 11 novembre 2023, Claire Geronimi subissait un viol dans le hall de son immeuble. L’agresseur, un Centrafricain de 26 ans, menaçait la jeune femme avec une lame artisanale. Ce drame s’est déroulé en plein après-midi, dans un quartier huppé de Paris, près du parc Monceau. Le suspect, Jordy G., est un clandestin sous plusieurs obligations de quitter le territoire français (OQTF).

Claire Geronimi a confié au Figaro : «Je me suis dit : soit je meurs, soit je fais ce qu’il dit.» Elle ajoute : «Si l’OQTF avait été exécutée, ça ne serait pas arrivé.» La jeune femme de 26 ans souhaite désormais «faire bouger les choses d’un point de vue politique.» Depuis, elle a rejoint l’Union des droites (UDR) d’Éric Ciotti, où elle occupe le poste de vice-présidente. Elle a également fondé «Éclats de femme», une association d’aide juridique et psychologique aux victimes.

Jordy G. est également suspecté d’avoir violé une autre jeune femme de 19 ans, peu avant l’agression de Claire. Depuis le 12 mars, il est en détention provisoire. La justice l’a renvoyé devant la cour criminelle. Son passé révèle des antécédents inquiétants : il aurait violé et agressé sexuellement deux jeunes filles durant son enfance.

L’affaire soulève des questions sur l’efficacité des OQTF et la gestion des clandestins en France. Claire Geronimi espère que son témoignage incitera à des réformes. Elle appelle à une meilleure protection des victimes et à une application plus stricte des mesures d’expulsion. Source


Gardien d’école à Perpignan soupçonné de viol incestueux sur sa fille

Un gardien d’école de Perpignan est au cœur d’une enquête pour « viol incestueux » sur sa fille handicapée. Les faits se seraient déroulés fin janvier dans les locaux de l’établissement scolaire. L’homme, âgé d’une cinquantaine d’années, a été placé en garde à vue le mois dernier. L’alerte a été donnée par une femme de ménage qui affirme avoir surpris le gardien en flagrant délit.

Le procureur de la République de Perpignan a confirmé l’ouverture d’une information judiciaire pour « viol et agression sexuelle aggravés incestueux ». Un juge d’instruction a été désigné pour mener l’enquête. Les faits dénoncés remontent à la fin janvier, après une journée d’école vers 19h, au dernier étage de l’établissement. La femme de ménage a découvert la scène en ouvrant un local de rangement fermé à clé de l’intérieur. Elle a immédiatement prévenu ses supérieurs hiérarchiques.

Le 30 janvier, le gardien a été suspendu de ses fonctions par la mairie de Perpignan, qui a saisi le procureur. En poste depuis plusieurs années, il gérait notamment les entrées et les sorties de l’école. Selon une source policière, le suspect a d’abord reconnu les faits auprès de son employeur, avant de les démentir formellement au cours de sa garde à vue. Sa fille, âgée de 25 ans et souffrant d’un handicap mental, dément également avoir été victime. Aucune plainte n’a été déposée à ce jour.

L’enquête se poursuit pour faire toute la lumière sur cette affaire. Les autorités locales et judiciaires prennent cette situation très au sérieux. La communauté scolaire est sous le choc et attend des réponses. Source


Un homme condamné pour le viol de sa meilleure amie dans le vignoble de Nantes

Un homme de 40 ans a été condamné pour le viol de sa meilleure amie dans le vignoble de Nantes. Les faits remontent au 13 janvier 2024, lorsque l’accusé s’est glissé sous les draps de la victime alors que son mari dormait dans le salon. La sixième chambre du tribunal judiciaire de Nantes a prononcé une peine d’un an de détention à domicile sous surveillance électronique, ce lundi 17 mars.

L’atmosphère était lourde dans la salle d’audience. L’accusé, un homme barbu, semblait abattu. « Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, c’était un coup de folie, » a-t-il déclaré. En face, le couple de la partie civile, visiblement marqué par l’épreuve. La femme connaissait l’accusé depuis le lycée, et son mari, qui travaillait avec lui, l’avait même choisi comme témoin de mariage.

Cette nuit-là, dix-sept années d’amitié ont été brisées. L’homme, que les enfants de la victime appelaient affectueusement « tonton, » a commis l’irréparable. Les faits ont été requalifiés en agression sexuelle, mais la douleur reste vive pour la victime et sa famille.

La décision du tribunal a été accueillie avec un mélange de soulagement et de tristesse. La peine de détention à domicile sous surveillance électronique vise à punir l’accusé tout en permettant une certaine réinsertion. Cependant, les cicatrices émotionnelles mettront du temps à guérir. Source


Viol présumé à Montrichard : un jeune homme reste en détention

Un jeune homme sans domicile fixe, accusé de viol et d’atteinte à la vie privée, reste en détention provisoire. La décision a été prise par les magistrats de la chambre d’instruction de la cour d’appel d’Orléans. La victime présumée, une jeune femme de 21 ans, affirme avoir été violée après une soirée en discothèque.

L’affaire remonte à l’été 2023. La mère de la victime a signalé les faits aux gendarmes de Montrichard-Val-de-Cher. La jeune femme a déclaré avoir subi un viol, suivi d’une fausse couche. Un certificat médical atteste d’un stress post-traumatique et d’une incapacité totale de travail de deux jours.

Le suspect, interpellé à Lyon en février, nie les accusations. Il affirme que les relations étaient consenties. Cependant, des messages et une vidéo compromettante ont été retrouvés. Le cousin du suspect a témoigné que ce dernier lui avait confié des actes violents.

L’avocate du jeune homme, Me Julie Chollet, a plaidé pour un placement sous contrôle judiciaire. Elle a assuré qu’il n’y avait aucun risque de pression sur la plaignante. Toutefois, l’avocat général, Julien Le Gallo, a souligné des éléments inquiétants. Il a recommandé de maintenir la détention provisoire pour éviter tout contact entre les deux parties.

La cour a suivi les réquisitions du parquet général. Le jeune homme reste donc en détention provisoire. Cette affaire soulève des questions sur la protection des victimes et la gestion des preuves dans les affaires de violences sexuelles. Source


En cas d’urgence, composez le 17 ou le 112 depuis un téléphone portable. Pour les femmes victimes de violences, appelez le 3919. Pour les enfants et adolescents en danger, contactez le 119. Vous pouvez également envoyer un SMS au 114. Les victimes peuvent se signaler discrètement auprès des pharmacies. Si vous êtes auteur de violences et souhaitez de l’aide, contactez le numéro « J’arrête d’être violent » au 08 019 019 11.

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