Vol Air India 171 : Une preuve choc confirme-t-elle une double panne moteur fatale ?

Une nouvelle vidéo bouleverse l’enquête en cours sur le crash du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India, survenu à Ahmedabad. Le commandant Steve, expert en aviation, a dévoilé une analyse minutieuse qui révèle un élément crucial jusqu’ici ignoré : l’activation de la turbine de secours, le fameux RAT (Ram Air Turbine).

Sur les images inédites, on distingue clairement une protubérance sous le fuselage et un point gris, interprétés comme la porte du RAT ouverte et la turbine déployée. Cette manœuvre automatique ne se produit qu’en cas de défaillance électrique ou hydraulique massive, voire lors d’une double panne moteur — une hypothèse dramatique qui renforce l’idée d’un accident lié à une perte totale d’énergie à bord.

Le son capté, étrangement similaire à celui d’un RAT en fonctionnement sur d’autres Boeing 787 en situation d’urgence, apporte une dimension sonore à cette preuve visuelle. Ce détail inédit change radicalement la donne. Alors que les premières analyses évoquaient des erreurs de pilotage ou un problème de configuration des volets, cette vidéo suggère que le drame résulte d’un problème technique majeur.

Pour moi, ces révélations éclairent d’un jour nouveau ce qui semblait être un simple incident de pilotage. La turbine de secours ne se déploie jamais sans raison majeure. Elle signale une situation critique, confirmant que l’équipage a dû faire face à une panne grave, peut-être même double.

Cependant, l’enquête officielle reste prudente. Aucune conclusion définitive n’a encore été publiée par les autorités. Le mystère persiste, mais cette vidéo relance le débat avec force, offrant une piste tangible vers la compréhension du crash.

Ce nouvel élément est une invitation à regarder l’accident sous un angle plus technique et dramatique, ouvrant une piste que l’on pensait jusque-là improbable. Le temps dira si cette preuve change la version officielle, mais elle impose déjà un questionnement urgent.


Crash mortel en Himalaya : pourquoi ces pèlerinages tournent-ils au drame ?


Un nouveau drame secoue l’Inde spirituelle

Dimanche 15 juin, l’Himalaya a de nouveau été le théâtre d’un drame bouleversant. J’ai découvert avec effroi qu’un hélicoptère transportant des pèlerins hindous s’est écrasé à son retour du célèbre temple de Kedarnath. À son bord : un pilote, six fidèles, et un bébé de seulement deux ans. Aucun survivant.

Ce temple, perché à 3 584 mètres d’altitude, attire chaque année des milliers de pèlerins venus de toute l’Inde. Mais cette foi inébranlable semble aujourd’hui mise à rude épreuve. Pourquoi ces lieux sacrés deviennent-ils si dangereux ? Pourquoi autant de drames en si peu de temps ?


Entre ferveur et fatalité : la météo encore en cause

Les autorités indiennes évoquent des conditions météorologiques « très défavorables » : visibilité réduite, vents violents… Le vol aurait été piégé par une soudaine dégradation du temps. Une fois encore, la montagne a dicté sa loi.

Je ne peux m’empêcher de penser à ces familles qui avaient simplement cherché la paix de l’âme – et qui n’ont trouvé que le silence tragique des cimes.


Une série noire qui inquiète les autorités

Ce crash survient à peine trois jours après l’effroyable accident du vol Air India à Ahmedabad (279 morts). Et en mai, un hélicoptère similaire s’était déjà abîmé dans la même région, coûtant la vie à sept personnes.

Face à cette série noire, l’aviation civile indienne a immédiatement suspendu tous les vols privés vers les sanctuaires de l’Himalaya. Mais est-ce suffisant ? Est-il raisonnable de maintenir ces liaisons dans de telles conditions ?

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