Katy Perry dans l’espace : pourquoi ce vol 100 % féminin marque une rupture ?

Ce lundi 14 avril, j’assiste à un événement inédit : le décollage d’une fusée Blue Origin entièrement composée de femmes. Je fais partie de l’équipage. Oui, moi, Katy Perry, embarque à bord de New Shepard, la capsule spatiale de Jeff Bezos. L’espace, je l’ai chanté. Aujourd’hui, je vais le vivre.

Depuis l’ouest du Texas, à 15h30 heure française, nous nous envolons. À mes côtés, cinq femmes inspirantes. Il y a Lauren Sánchez, fiancée de Bezos, mais aussi Amanda Nguyen, militante et survivante, Aisha Bowe, ingénieure aérospatiale, Kerianne Flynn, productrice engagée, et Gayle King, icône des médias américains. Ensemble, nous formons le premier équipage spatial 100 % féminin. Une première mondiale.

Notre vol ne durera qu’une dizaine de minutes. Mais en franchissant la ligne de Kármán, située à 100 km d’altitude, nous entrerons officiellement dans l’espace. Quelques instants d’apesanteur, suspendus entre ciel et vide, avant de redescendre sur Terre. C’est un geste fort, mais aussi un message.

Je pense à ma fille Daisy. C’est pour elle que je le fais. Pour qu’elle comprenne que rien n’est hors de portée, pas même les étoiles. En 2011, je chantais « E.T. » en parlant d’extraterrestres. Aujourd’hui, c’est moi qui deviens passagère du cosmos.

Ce voyage interroge. Il fascine autant qu’il dérange. Car si l’espace devient accessible aux célébrités, il reste un luxe. Le prix de cette aventure reste secret. Le bilan carbone, lui, est bien réel. Mais je crois à la symbolique. Aux jeunes filles qui, demain, oseront rêver plus haut, plus loin.

J’invite chaque lecteur à réagir. Que pensez-vous de cette conquête féminine de l’espace ? Laissez votre avis en commentaire !

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