Dans la nuit du vendredi 13 juin 2025, l’État d’Israël a lancé une opération militaire surprise d’une ampleur sans précédent contre plusieurs cibles iraniennes. L’opération, baptisée Rising Lion, a mobilisé environ 200 avions de chasse et visé des infrastructures militaires et nucléaires clés. Des sites situés à Téhéran, Qom, Arak, Tabriz, Natanz et Ilam ont été sévèrement frappés.
Les cibles incluaient des centres de commandement, des bases stratégiques et plusieurs installations soupçonnées d’accueillir des programmes nucléaires avancés. Parmi les victimes figurent des figures de premier plan : Mohammed Bagheri, chef d’état-major iranien, et Hossein Salami, chef des Gardiens de la Révolution. Tous deux auraient été tués lors de frappes ciblées.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré que cette action visait à « éliminer une menace imminente ». Selon les renseignements israéliens, l’Iran était proche d’atteindre un seuil critique dans son développement nucléaire, susceptible de déboucher sur l’acquisition de l’arme atomique.
En riposte, l’Iran a qualifié cette opération de « déclaration de guerre » et a immédiatement lancé une contre-attaque aérienne. Une centaine de drones auraient été déployés en direction d’Israël. L’armée israélienne tente de les intercepter, mais craint une escalade rapide. Téhéran tient Washington pour responsable, accusant les États-Unis de complicité stratégique.
Face à cette situation explosive, Israël a décrété l’état d’urgence sur l’ensemble de son territoire. En France, le président Emmanuel Macron a réuni un conseil de défense exceptionnel. L’Union européenne appelle à la désescalade et à une reprise immédiate du dialogue diplomatique.
Le Proche-Orient semble basculer dans une nouvelle phase critique. L’équilibre régional pourrait être durablement ébranlé. Les prochaines heures seront déterminantes pour éviter une guerre ouverte.