Dôme de fer interceptant des missiles au-dessus de Jérusalem

Frappes massives, riposte immédiate : une nuit sous tension

Dans la nuit du 13 juin 2025, Israël a déclenché une opération militaire d’une intensité rarement vue contre l’Iran. L’opération « Rising Lion » a visé en simultané les installations nucléaires iraniennes, les bases militaires stratégiques et les hauts responsables de la République islamique. Une escalade brutale qui a immédiatement entraîné une riposte massive de Téhéran.

Une attaque planifiée et ciblée

L’offensive israélienne a mobilisé plus de 200 chasseurs. Les frappes ont visé une centaine de sites :

  • Le site nucléaire de Natanz, cœur du programme atomique iranien, a été sévèrement endommagé.
  • Des bases de missiles balistiques, des systèmes de défense aérienne et des centres de commandement ont été neutralisés.
  • Plusieurs figures clés du régime iranien ont été tuées, notamment Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution, et Mohammad Bagheri, chef d’état-major.

Civils touchés et choc à Téhéran

Des frappes ont également touché des zones résidentielles, provoquant la mort de civils, dont des enfants. À Téhéran, les habitants ont été réveillés vers 3 h du matin par les explosions. La panique s’est propagée dans les quartiers frappés, certains habitants choisissant de fuir temporairement la capitale.

La riposte iranienne : pluie de drones et missiles

Dès le soir, l’Iran a lancé sa contre-attaque. Plus de 100 drones et des dizaines de missiles balistiques ont été dirigés vers Israël. Les sirènes ont retenti à Jérusalem et Tel-Aviv. Des explosions ont secoué les deux villes, plongeant la population dans la peur.

Israël affirme avoir intercepté la totalité des drones grâce à son système « Dôme de fer ». L’armée annonce un taux d’interception supérieur à 90 %, confirmant que la situation est désormais « sous contrôle ».

Réactions mondiales : tensions diplomatiques et appels au calme

Washington prend ses distances

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a indiqué que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans l’opération. Donald Trump, informé à l’avance, a exhorté l’Iran à « cesser immédiatement les bombardements ».

La Jordanie active ses défenses

Amman a intercepté des projectiles iraniens traversant son espace aérien. Des sirènes ont été déclenchées, les défenses ont été mises en alerte.

L’Europe appelle à la retenue

Le Royaume-Uni a qualifié l’escalade de « très préoccupante ». Le Premier ministre Keir Starmer a appelé à « un retour urgent à la diplomatie ».

Israël en état d’urgence

L’état d’urgence a été déclaré. Écoles fermées, rassemblements interdits, événements annulés. La grande parade de la fierté de Tel-Aviv, prévue ce week-end, n’a pas eu lieu. La population a été priée de rester à proximité des abris anti-aériens.


Une nouvelle phase du conflit ?

Avec cette opération, Israël semble vouloir réduire durablement les capacités militaires et nucléaires de l’Iran. Mais cette offensive pourrait aussi entraîner une guerre plus large dans la région.

L’Iran est désormais confronté à un dilemme stratégique : poursuivre sa riposte ou accepter la dégradation partielle de ses moyens militaires.

L’attaque du 13 juin marque un tournant. L’affrontement entre Israël et l’Iran entre désormais dans une phase plus directe et plus dangereuse. Le risque d’embrasement régional n’a jamais été aussi élevé. La communauté internationale devra agir vite si elle veut éviter une guerre ouverte.

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