En 2025, la vente de poupées à caractère pédopornographique demeure interdite dans la majorité des pays occidentaux, notamment en France, au Royaume-Uni, en Allemagne ou en Australie, où la législation vise à protéger les mineurs et sanctionne sévèrement l’importation, la détention et la commercialisation de ces produits. Toutefois, la situation reste ambiguë dans certains États ou la législation ne prévoit pas explicitement le cas des poupées sexuelles à apparence enfantine, tolérant parfois leur possession ou leur importation faute de textes précis ou de contrôles stricts. De nombreux pays européens appliquent ainsi des interdictions implicites en assimilant ces articles à des représentations pédopornographiques interdites par le droit pénal, mais sans texte dédié, rendant le contrôle difficile et variable selon l’interprétation des autorités.
Quelques pays d’Asie ou d’Amérique latine n’ont pas légiféré directement sur la question, et la vente peut parfois y exister, bien que la tendance globale évolue vers une réglementation renforcée sous la pression internationale. Cependant, au Canada, au Japon, en Corée du Sud, en Russie ou encore dans certains pays africains comme le Nigéria, la légalité varie : la plupart de ces États interdisent les modèles explicitement enfantins mais tolèrent les poupées pour adultes. Les plateformes en ligne profitent souvent de ces zones grises et de la disparité des lois pour contourner les règles, d’où la multiplication des signalements et le durcissement de la surveillance sur les places de marché mondiales.
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