La semaine dernière, un documentaire inédit diffusé sur une chaîne américaine a ravivé une anecdote marquante de la carrière de Michael Jordan. Le reportage est revenu sur le rituel vestimentaire du joueur, entamé dès son premier match professionnel en NBA.
Jordan avait commencé à enfiler, sous son short officiel des Chicago Bulls, celui de son université de Caroline du Nord. Ce geste, né d’une volonté de se porter chance, remontait à sa victoire décisive au championnat universitaire de 1982. À cette époque, il croyait que ce short portait en lui l’élan de la réussite.

Pour dissimuler ce vêtement supplémentaire, il avait opté pour un short plus ample et plus long. Sans le vouloir, il imposa ainsi un nouveau style vestimentaire dans le basketball, abandonnant les coupes courtes traditionnelles. Cette habitude, ancrée dans une superstition personnelle, s’est transformée en tendance mondiale au fil des années.
Le geste personnel d’un joueur est donc devenu un symbole culturel, influençant la mode sportive bien au-delà des parquets. Ce détail vestimentaire, aujourd’hui encore visible dans de nombreuses équipes, illustre la manière dont une décision intime peut façonner une époque entière.
Et vous, pensez-vous que les superstitions ont encore un impact réel dans le sport d’aujourd’hui ? Réagissez en commentaire.
