Cambriolage éclair à Tokyo : les Pink Panthers refont surface

En moins de trois minutes, une bijouterie de luxe a été dévalisée à Tokyo. Les autorités japonaises ont rapidement fait le lien avec le groupe criminel des Pink Panthers, dont plusieurs membres sont déjà fichés par Interpol. Ce coup audacieux, mené avec précision et sang-froid, rappelle les méthodes utilisées depuis plus de deux décennies par ce réseau originaire de l’ex-Yougoslavie.

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Dès les années 1990, alors que les Balkans étaient secoués par les guerres et le chaos politique, certains anciens soldats et agents de renseignement s’étaient déjà tournés vers le grand banditisme. Dotés d’une formation tactique pointue, ils avaient élaboré un mode opératoire unique, alliant vitesse, déguisements, et logistique militaire. Leur première opération internationale remarquée remonte à 2003, avec un vol spectaculaire à Londres. Depuis, leurs cibles se sont multipliées : Genève, Saint-Tropez, Dubaï ou encore Venise.

Fonctionnant en réseau sans hiérarchie apparente, les Pink Panthers auraient volé pour près d’un milliard de dollars en métaux précieux. Leur nom, donné par Scotland Yard, provient d’un diamant dissimulé dans un pot de crème, clin d’œil au film « La Panthère rose ». Malgré plusieurs arrestations, certaines évasions spectaculaires ont renforcé leur réputation de criminels insaisissables. Leur retour récent à Tokyo relance l’alerte internationale. Source

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