Un dentiste de Reims en prison : la justice face à des crimes odieux
Un dentiste de Reims a été incarcéré pour des crimes graves impliquant des mineurs. Les faits, d’une gravité extrême, ont été révélés après qu’un jeune garçon de 11 ans a subi des agressions sexuelles sous soumission chimique. Malgré cela, le praticien a continué à exercer jusqu’à ce qu’une adolescente de 14 ans soit également victime de ses actes.
Nicolas Bruy, le dentiste en question, a été radié et emprisonné après le deuxième crime. Sa demande de remise en liberté, présentée le 3 juillet, a été rejetée. À Fismes, une ville de 6 000 habitants, la population était au courant des scellés sur son cabinet depuis février 2025. Les rumeurs circulaient, et les anciens patients s’interrogeaient sur d’éventuels actes répréhensibles commis sur leurs enfants.
Les crimes reprochés à Bruy concernent deux mineurs de moins de 15 ans. Les faits ont été aggravés par l’administration de médicaments altérant leur discernement. Lors de l’audience de la cour d’appel de Reims, les détails de l’affaire ont été rendus publics. Bruy, visiblement nerveux, a écouté le récit des faits qui lui sont reprochés. Source
Pourquoi le diocèse de Toulouse promeut un prêtre condamné pour viol sur mineur ?
Un prêtre condamné pour viol sur mineur a été promu chancelier par le diocèse de Toulouse. Dominique Spina, condamné en 2006 pour le viol d’un lycéen de 16 ans en 1993, a été nommé à ce poste à haute responsabilité. Cette décision, rendue publique le 7 juillet, a suscité de vives réactions.
En 2006, Dominique Spina a été condamné à cinq ans de prison, dont un avec sursis, pour des faits commis alors qu’il était prêtre du diocèse de Bayonne. Malgré cette condamnation, Mgr Guy de Kérimel, archevêque de Toulouse, a justifié cette promotion par « le parti de la miséricorde ». Selon l’archevêque, Spina n’exerce plus de charge pastorale depuis cinq ans et travaille aux archives du diocèse.
Le chancelier est responsable de la conservation des actes officiels de l’archevêque et conseille sur l’administration des sacrements. Mgr de Kérimel a souligné que Spina n’a rien à se reprocher depuis trente ans. Cependant, cette nomination a provoqué l’incompréhension et la colère de nombreux fidèles et observateurs.
En 2016, le prédécesseur de Mgr de Kérimel, Robert Le Gall, avait déjà relevé Spina de ses fonctions. Cette nouvelle promotion relance le débat sur la gestion des affaires de violences sexuelles au sein de l’Église.
Cette affaire pose des questions sur la transparence et la responsabilité de l’Église face aux crimes sexuels commis par ses membres. Elle met également en lumière les tensions entre la miséricorde et la justice au sein de l’institution ecclésiastique. Source
Suspicions de viol, Cambriolage violent à Marseille : une influenceuse victime d’une agression choquante
Vendredi 4 juillet, Soraya Riffy, une influenceuse marseillaise, a subi une agression brutale dans son domicile. Trois hommes armés ont forcé l’entrée de son appartement, la frappant violemment et la menaçant avec une arme. Les soupçons d’un viol, alors qu’elle était inconsciente, sont en cours d’expertise. Les agresseurs ont pris la fuite avec des objets de valeur, dont des sacs de luxe et une montre Rolex.
Soraya Riffy, connue pour ses activités sur Instagram avec un million d’abonnés, a été ligotée et aspergée d’eau de javel. Hospitalisée, elle présente plusieurs fractures au visage et de nombreuses coupures. Selon son avocat, Tom Michel, les agresseurs connaissaient bien leur victime. L’un d’eux s’est présenté comme un voisin avant de faire entrer les autres individus armés.
La victime a été bâillonnée et ligotée avec du ruban adhésif. Les soupçons d’une agression sexuelle sont évoqués en raison des traces sur son corps. Soraya Riffy a perdu connaissance après avoir suffoqué à cause du ruban adhésif trop serré. Elle a entendu des propos choquants de la part de ses agresseurs avant de perdre connaissance.
Les agresseurs ont passé plus d’une heure et demie à la brutaliser sous la menace d’une arme. Ils ont pris la fuite avec des objets de valeur. Après s’être libérée, Soraya Riffy a pu appeler les secours et a été hospitalisée. Elle avait déjà alerté les autorités sur les menaces qui pesaient sur elle. Son avocat a dénoncé le fait que sa notoriété ait été invoquée pour justifier l’agression.
Soraya Riffy avait déjà été victime d’agressions par le passé, notamment en 2016 sur le plateau de « Touche pas à mon poste ». La chaîne C8 avait été mise en demeure par le CSA suite à cet incident. Source
Un magistrat sous le feu des projecteurs : enquête pour viol et violences conjugales
Un magistrat a été mis en examen pour des accusations graves de viol et de violences conjugales. Les faits reprochés incluent des violences ayant entraîné une incapacité de moins de huit jours. Selon une source judiciaire, l’homme a été placé sous contrôle judiciaire après avoir passé trois nuits à l’Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de Police. Il a ensuite été présenté à un juge d’instruction.
Actuellement en poste au ministère de la Justice en tant qu’inspecteur général, le mis en cause a précédemment exercé en tant que procureur de la République à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. La plaignante, une élève de l’École nationale de la magistrature, aurait entretenu une relation avec lui. Le Conseil supérieur de la magistrature pourrait être saisi pour statuer sur une éventuelle suspension.
Le garde des Sceaux pourrait demander l’interruption de ses fonctions. Cependant, il est important de rappeler que le magistrat est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Cette affaire soulève des questions sur les mécanismes de contrôle et de sanction au sein de l’institution judiciaire. Source
Un SDF acquitté pour viol : le parquet fait appel, pourquoi ce verdict divise ?
Un homme de 46 ans a été jugé les 19 et 20 juin 2025 devant la cour d’assises des Pyrénées-Orientales. Il était accusé d’avoir imposé des rapports sexuels à une salariée du 115. Cette femme, chargée de l’hébergement des sans-abri à Perpignan, a porté plainte contre lui. Malgré les accusations, l’accusé a été acquitté à l’issue du procès. Cependant, le ministère public a décidé de faire appel de ce jugement.
Ce verdict soulève des questions sur la manière dont les affaires de viol sont traitées par la justice. L’acquittement d’un individu en situation de récidive interroge sur les preuves nécessaires pour obtenir une condamnation. Le parquet, en faisant appel, montre sa détermination à obtenir une révision du jugement. Cette affaire met également en lumière les défis rencontrés par les victimes de violences sexuelles. En effet, celles-ci doivent souvent faire face à des procédures judiciaires longues et éprouvantes.
Le procès a duré deux jours, durant lesquels les témoignages et les preuves ont été examinés. Les jurés ont finalement estimé que les éléments présentés n’étaient pas suffisants pour condamner l’accusé. Cette décision a suscité des réactions variées, certains soutenant le verdict, d’autres le critiquant vivement. Le recours du parquet pourrait relancer le débat sur la nécessité de réformes dans le traitement des affaires de viol.
Cette affaire rappelle l’importance de la présomption d’innocence, tout en soulignant les difficultés des victimes à obtenir justice. Elle invite également à réfléchir sur les moyens d’améliorer le système judiciaire pour mieux protéger les victimes de violences sexuelles. Le résultat de l’appel sera donc attendu avec attention. Source
Un viol sous la menace d’un couteau relance le débat sur la récidive à Toulouse
Un homme, récemment libéré, a été condamné à 15 ans de prison pour le viol d’une retraitée sous la menace d’un couteau. Cet acte odieux, commis dans le nord de Toulouse, a provoqué une onde de choc dans la communauté locale. L’individu, déjà connu des services judiciaires pour des faits similaires, soulève une fois de plus la question cruciale du suivi des criminels sexuels après leur libération.
L’affaire a débuté lorsque la victime, une femme âgée, a été agressée chez elle. L’homme, armé d’un couteau, a menacé sa victime avant de commettre son forfait. Les détails de l’enquête révèlent que l’agresseur avait été libéré peu de temps avant les faits, malgré un lourd passé judiciaire. Cette récidive tragique interroge sur l’efficacité des mesures de surveillance et de réinsertion des délinquants sexuels.
Les autorités locales ont réagi promptement à cet incident. Le procureur de la République a souligné la nécessité de revoir les protocoles de suivi des individus dangereux. Des associations de victimes ont également exprimé leur indignation, appelant à des mesures plus strictes pour prévenir de tels crimes. Ce drame relance le débat sur la dangerosité des multirécidivistes et la protection des citoyens.
La communauté toulousaine est sous le choc. Des rassemblements ont eu lieu pour soutenir la victime et exiger des réponses des pouvoirs publics. Les habitants demandent des actions concrètes pour renforcer la sécurité et éviter que de tels événements ne se reproduisent. Ce cas tragique rappelle l’importance de la vigilance et de la protection des personnes les plus vulnérables.
Les experts en criminologie soulignent la complexité de la gestion des délinquants sexuels. Ils insistent sur la nécessité d’un suivi psychologique rigoureux et d’un accompagnement social adapté. Les politiques actuelles sont-elles suffisantes pour protéger la société ? Cette question reste ouverte et nécessite une réflexion approfondie de la part des législateurs et des professionnels du secteur judiciaire. Source
Seb Mellia en garde à vue : que révèle l’enquête pour viols ?
L’humoriste Seb Mellia a été interpellé mardi matin dans le cadre d’une enquête préliminaire. Cette procédure fait suite à des plaintes déposées par deux femmes, dont l’humoriste Tania Dutel. Cette affaire marque une nouvelle étape judiciaire pour le comédien de 40 ans.
Selon des sources proches de l’enquête, Seb Mellia a été placé en garde à vue mardi. Cette mesure intervient dans le cadre d’une enquête pour viols ouverte par le parquet de Paris. Les plaintes, déposées en avril et mai 2024, émanent de Tania Dutel et d’une autre femme. Après avoir été entendu dans les locaux du 2e district de police judiciaire, il a été libéré mercredi soir. Le parquet de Paris a confirmé que la garde à vue a été levée aux fins de poursuite en préliminaire.
Tania Dutel accuse Seb Mellia de deux viols, survenus en 2014 et 2016. Ces incidents auraient eu lieu après des représentations au Paname Comedy Club. Le premier viol aurait été commis au domicile parisien de Tania Dutel, âgée de 36 ans. Le second se serait produit dans une loge du Palais des Glaces, situé dans le Xe arrondissement de Paris.
Cette affaire soulève des questions sur les conditions de travail des humoristes. Elle met également en lumière les procédures judiciaires en cas d’accusations de violences sexuelles. Les avocats des parties concernées n’ont pas encore fait de déclarations publiques. L’enquête se poursuit et de nouveaux éléments pourraient émerger. Source
Affaire Auradou-Jegou : la plaignante brise le silence sur son combat judiciaire
Un an après avoir porté plainte pour « viol aggravé en réunion » contre deux joueurs du XV de France, la vie de la plaignante reste profondément marquée. Selon son avocate, Natacha Romano, son quotidien est « toujours difficile ». L’affaire, qui a éclaté lors de la tournée estivale du XV de France en Amérique du Sud, a vu Melvyn Jaminet exclu pour des propos racistes, tandis qu’Oscar Jegou et Hugo Auradou étaient accusés de viol.
Les deux rugbymen, initialement incarcérés et mis en examen, ont bénéficié d’un non-lieu le 10 décembre, confirmé en appel le 18 février. Cependant, l’affaire est loin d’être close. La plaignante a saisi la Cour suprême de Mendoza, et un recours en cassation est attendu pour cette année. Natacha Romano, son avocate, critique « plusieurs erreurs et omissions au cours de l’enquête », affirmant que sa cliente « a été victime d’un viol ».
La victime présumée, très discrète dans les médias, subit toujours les conséquences de cette affaire. Son avocate décrit un quotidien « toujours difficile » et un « retour à la normale impossible ». Le non-lieu a été un choc émotionnel violent. Aujourd’hui, elle n’est toujours pas réinsérée socialement ni professionnellement, bénéficiant d’un suivi psychologique et psychiatrique soutenu. Sa famille, notamment ses parents, est également profondément affectée.
Les avocats des deux rugbymen n’ont pas souhaité s’exprimer, affirmant que l’affaire est définitivement clôturée. Antoine Vey, l’un des avocats, avait déclaré : « J’espère qu’ils pourront maintenant retrouver un équilibre personnel et que leur image ne sera plus troublée. » Source
Paris : Une femme saute par la fenêtre pour échapper à son agresseur
Dans la nuit de ce jeudi 10 juillet, une jeune femme a dû sauter par la fenêtre d’un immeuble situé rue Saint-Denis, dans le 2e arrondissement de Paris, pour échapper à un viol. Selon les informations recueillies, la victime a été invitée au domicile de son agresseur après avoir raté son bus. Sous la contrainte, elle a subi un rapport sexuel non protégé.
La victime, souffrant de douleurs aux pieds suite à sa chute, a été transportée à l’hôpital. Elle prévoit de déposer plainte au commissariat. Le suspect, quant à lui, a été interpellé par les forces de l’ordre. Cet incident rappelle des affaires similaires où des individus s’introduisent chez leurs victimes par effraction pour commettre des agressions sexuelles.
Les autorités ont ouvert une enquête pour viol. La jeune femme, bien que choquée, a pu recevoir les soins nécessaires. Les détails de cette affaire soulèvent des questions sur la sécurité et la vigilance nécessaires, même dans des situations apparemment anodines. Source
Un ancien joueur des Lakers condamné : 100 mois de prison pour viol
Ben McLemore, ancien joueur de la NBA, a été condamné à plus de huit ans de prison ferme. Un jury l’a reconnu coupable de viol et d’agression sexuelle lors d’une soirée en 2021. L’ancien arrière, âgé de 32 ans, a été condamné mercredi par un juge de l’Oregon. Cette sentence fait suite à sa condamnation pour des actes commis lors d’une soirée à Lake Oswego.
Le jury du tribunal de Clackamas a reconnu McLemore coupable de trois des quatre chefs d’accusation. Les faits remontent au 3 octobre 2021, lors d’une soirée organisée chez Robert Covington, alors coéquipier de McLemore. Selon l’accusation, la victime, fortement alcoolisée, s’est évanouie sur un canapé. Elle aurait partiellement repris conscience le lendemain matin lorsque McLemore l’a agressée sexuellement.
McLemore avait plaidé non coupable, soutenant que la rencontre était consensuelle. Cependant, le jury a rendu un verdict lourd après un procès de deux semaines et demie. Scott Healy, premier procureur adjoint du comté de Clackamas, a déclaré que cette affaire pourrait encourager d’autres victimes à se manifester.
La victime, qui s’est exprimée par vidéo lors de l’audience, a témoigné de l’impact de cette épreuve. Elle a confié que ces quatre années ont été les plus longues de sa vie. McLemore, septième choix de la draft NBA 2013, a évolué pendant neuf saisons en NBA pour cinq équipes différentes. Il n’a plus joué en NBA depuis 2022 et poursuivait sa carrière en Chine, en Grèce et en Espagne avant son arrestation. Source
Violences en RDC : Des vies brisées par la guerre et l’impunité
En République démocratique du Congo, une femme est violée toutes les quatre minutes. Ce chiffre alarmant, révélé par les Nations unies, illustre l’ampleur des violences sexuelles dans l’est du pays. Dans cette région déchirée par des décennies de conflits, une équipe de Médecins Sans Frontières (MSF) se bat pour soigner les victimes, tant sur le plan physique que psychologique.
Marie, une survivante, raconte son calvaire dans une clinique de Buhimba, au Nord-Kivu. Chassée de chez elle par la guerre, elle a été violée à deux reprises dans le parc national des Virunga, où elle allait ramasser du bois pour survivre. Ces agressions l’ont laissée avec deux enfants, fruits de ces violences. Aujourd’hui, elle bénéficie d’un suivi médical et psychologique grâce à MSF, qui offre des soins essentiels et un soutien indispensable.
En 2024, près de 40 000 victimes ont été prises en charge par MSF dans la province du Nord-Kivu, un nombre record. Les équipes locales, soutenues par des primes, jouent un rôle crucial dans ce programme. Amoin Sulemane, sage-femme expérimentée, observe avec inquiétude la malnutrition du bébé de Marie et intervient pour offrir une aide nutritionnelle.
Les témoignages recueillis révèlent une réalité glaçante : les violences sexuelles sont utilisées comme arme de guerre. Maombi, Sifa et Judith, parmi d’autres, ont subi des agressions similaires. La peur des représailles et la stigmatisation les empêchent souvent de parler, même à leurs proches.
Dans un contexte où les civils se sentent impuissants face à la loi des armes, l’aide de MSF reste un espoir. Nadège, une autre survivante, exprime sa gratitude pour les soins reçus, tout en espérant une amélioration de la situation. La crise persiste, et l’accès aux soins demeure vital pour ces femmes. Source
