🎤 Le coup de gueule de Bill

Chers amis, bonjour.
L’été est de retour, et avec lui, les chroniques de « Dans le panier de Bill » ! À nous les fenêtres ouvertes sur la route des vacances, le coude à l’air, direction la plage avec en fond sonore une musique… disons, un peu (voire beaucoup) différente de ce que les radios « commé » (pour commercial) nous balancent en boucle.

Mais comme c’est la première des premières, j’ouvre le bal avec une chronique un peu spéciale, que j’ai intitulée : Le coup de gueule de Bill

Été 2025, année de nombreuses sorties d’albums.
Et là, mes amis, je constate avec un mélange d’amertume et d’effarement l’évolution — ou plutôt la dégringolade — de la production chez certains artistes que j’affectionne pourtant depuis longtemps.

Et oui, l’argent, toujours l’argent… Voilà le vrai problème.
Certains talents ne peuvent s’empêcher d’aller renifler là où ça sent les gros billets (les maisons de disque ne sont sûrement pas étrangères à cette affaire).

Prenons un exemple très concret : Dope Lemon (vous vous souvenez, on en a parlé l’été dernier).
Son dernier album Golden Wolf, sorti en avril, est devenu un ersatz de ce qu’il a pu faire auparavant.
Une grosse production, certes, mais sans âme. Ça sonne creux, ça sent la commande et… oui, ça pue un peu le « j’en veux encore plus… de fric », évidemment.

Quand on regarde sa discographie, on voit bien la pente descendante.
Ça dérape doucement, mais sûrement.
Et je ne parlerai même pas des clips… ça, ce sera pour une autre fois.

Bref, vous l’aurez compris : on en a gros !
(référence, vous l’avez ?)


Je ne suis pas du genre à dire « c’était mieux avant », mais parfois… difficile de ne pas y penser.
Prenez Led Zeppelin : chaque album est une claque.
Une évolution, une prise de risque, un truc en plus à chaque fois.
Faites l’expérience, enchaînez leur discographie dans l’ordre, et vous m’en direz des nouvelles.


Bon, c’était mon petit coup de gueule du jour.
J’aurais pu en citer d’autres, mais je vais éviter de tout balancer dès la première chronique.
On se chauffe.

Je vous invite à me laisser vos messages, vos coups de cœur, vos contre-exemples
(mais ne me parlez pas du dernier Cure, que je trouve magnifique… je suis fan, donc forcément pas objectif).

Allez, je vais aller me calmer avec un bon vieux JJ Cale – Really.
Si vous ne connaissez pas, foncez. Une merveille.

Ă€ bientĂ´t, les amis.

La bise… bande de nazes.
— Bill Ottomo

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