Affaire des viols de Mazan : Caroline Darian accuse son père
Caroline Darian, 46 ans, a déposé une plainte pour viol contre son père, Dominique Pelicot. Selon nos informations, elle affirme avoir subi des abus sexuels pendant une décennie, de 2010 à 2020, sous l’effet de sédatifs. Cette nouvelle plainte intervient le jour même de la sortie de son livre, ajoutant une dimension médiatique à cette affaire déjà complexe.
Caroline Darian, fille de Gisèle et Dominique Pelicot, a déposé sa plainte via son avocate, Me Florence Rault, au tribunal judiciaire de Versailles. Les chefs d’accusation incluent « viol et tentative de viol, agressions sexuelles et administration de substances altérant le discernement ». En d’autres termes, Caroline Darian accuse son père de l’avoir mise sous soumission chimique pour abuser d’elle.
Cette affaire soulève de nombreuses questions sur les dynamiques familiales et les abus de pouvoir. La plainte de Caroline Darian pourrait également encourager d’autres victimes à briser le silence. Les détails de cette affaire continuent d’émerger, et l’enquête se poursuit. Source
Violences à Notre-Dame-de-Garaison : une plainte pour viol déposée
Un ancien élève de Notre-Dame-de-Garaison a récemment déposé plainte pour viol. Les faits remontent à la période entre 1991 et 1993. Cette plainte, déposée par l’intermédiaire de son avocat Joseph Mesa, marque une étape cruciale dans l’affaire. Parallèlement, le collectif des victimes de Garaison continue de recueillir des témoignages.
Cette démarche judiciaire vise à faire la lumière sur des événements graves. Les victimes espèrent ainsi obtenir justice. Le collectif, quant à lui, s’efforce de rassembler des preuves supplémentaires. L’objectif est de renforcer le dossier et de soutenir les victimes dans leur quête de vérité.
Les témoignages recueillis jusqu’à présent révèlent des faits troublants. Les victimes décrivent un climat de violence et d’abus. Ces révélations choquent la communauté et suscitent de nombreuses questions. Comment de tels actes ont-ils pu se produire ? Pourquoi n’ont-ils pas été dénoncés plus tôt ?
Le collectif appelle à la solidarité et à la vigilance. Il encourage toute personne ayant des informations à se manifester. Chaque témoignage compte et peut faire la différence. La mobilisation est essentielle pour que justice soit rendue.
L’affaire de Notre-Dame-de-Garaison soulève des interrogations sur la protection des élèves. Elle met en lumière les failles du système éducatif. Les autorités doivent désormais prendre des mesures pour éviter que de tels drames ne se reproduisent. Source
Viol aggravé : Un père de famille condamné à 18 ans de prison
Un quinquagénaire aveyronnais, initialement condamné à 10 ans de réclusion, a vu sa peine alourdie à 18 ans en appel. Jugé à Perpignan, il était accusé de viol aggravé sur sa fille déficiente mentale en 2018.
Le procès en appel s’est déroulé devant la cour d’assises des Pyrénées-Orientales. Les faits remontent à 2018, lorsque l’homme a commis des actes de viol aggravé sur sa propre fille, souffrant d’une déficience mentale. La gravité des accusations et les circonstances aggravantes ont pesé lourd dans la décision des juges.
Lors du premier procès, l’accusé avait écopé de 10 ans de réclusion. Cependant, la cour d’appel a estimé que cette peine était insuffisante au regard des faits. La défense a tenté de plaider des circonstances atténuantes, mais les éléments présentés n’ont pas convaincu les juges.
La victime, quant à elle, a dû revivre ces moments traumatisants lors des audiences. Son témoignage a été déterminant pour la cour, qui a décidé d’alourdir la peine. La famille de la victime a exprimé son soulagement face à cette décision, espérant que justice soit enfin rendue.
Ce verdict envoie un message fort contre les violences sexuelles, en particulier lorsqu’elles sont commises au sein de la famille. Il rappelle également l’importance de la protection des personnes vulnérables, souvent victimes de tels actes. Source
Royaume-Uni : Un étudiant condamné pour viols sous soumission chimique, d’autres victimes recherchées
Au Royaume-Uni, Zhenhao Zou, un étudiant chinois de 28 ans, a été reconnu coupable de 11 viols sur 10 femmes. La police craint qu’il n’ait fait au moins 50 autres victimes. Zhenhao Zou, doctorant en ingénierie à l’University College London (UCL), menait une double vie. Derrière l’apparence d’un brillant étudiant, il cachait un sinistre dispositif dans son appartement : des caméras espions, un stock d’alcool et de drogues, notamment du GHB, et un attirail pour administrer ces substances.
Lors de son arrestation en janvier 2024, la police a découvert 1.277 vidéos accablantes sur ses appareils électroniques. Certaines montraient Zhenhao Zou en train de violer des femmes inconscientes, en Chine et au Royaume-Uni. Il ciblait ses victimes dans des contextes sociaux ou via les réseaux sociaux, les droguait à leur insu avant de les violer, tout en filmant ses actes.
La police britannique poursuit son enquête pour identifier d’autres victimes potentielles. Elle appelle toute personne ayant été en contact avec Zhenhao Zou à se manifester. Le commandant Kevin Southworth de la Metropolitan Police a déclaré que cet homme pourrait être l’un des prédateurs sexuels les plus prolifiques jamais vus dans le pays.
Zhenhao Zou ne laissait rien au hasard. Dès 2020, il avait téléchargé un manuel détaillant comment droguer et violer des femmes. La police a également retrouvé une « boîte à trophées » contenant des bijoux et vêtements susceptibles d’appartenir à ses victimes. Malgré sa condamnation, de nombreuses zones d’ombre persistent. En Chine, la police n’a pas pu identifier les femmes présentes dans les vidéos. Au Royaume-Uni, les enquêteurs cherchent à retrouver au moins 50 autres victimes potentielles. Source
Jay-Z riposte : le rappeur poursuit son accusatrice pour diffamation
Jay-Z a décidé de contre-attaquer en justice. Le rappeur américain a déposé une plainte pour diffamation le 3 mars contre la femme qui l’avait accusé de viol. Cette dernière avait retiré sa plainte anonyme mi-février.
Le chanteur a intenté une action en justice devant la cour de l’Alabama. La plaignante avait affirmé avoir été violée lors d’une soirée des MTV VMA à New York en 2000, à l’âge de 13 ans. Jay-Z a qualifié ce retrait de « victoire ». Il a évoqué des allégations « fantaisistes, fictives et scandaleuses ». Le traumatisme subi par sa famille et lui-même ne peut être ignoré.
Shawn Carter, le vrai nom de Jay-Z, accuse l’ex-plaignante anonyme d’avoir lancé des poursuites pour lui extorquer de l’argent. La plainte pour diffamation vise également les avocats de la victime présumée, Tony Buzbee et David Fortney. Selon Jay-Z, ces derniers étaient motivés par la cupidité et méprisaient la vérité.
La plainte déposée par Jay-Z associe directement l’ex-plaignante et ses conseils. Elle affirme que l’histoire présentée au monde entier était fausse et malveillante. La plaignante aurait admis que Jay-Z ne l’avait pas agressée. Elle aurait été poussée par son avocat à maintenir ce faux récit pour obtenir de l’argent.
Face à cette contre-attaque, les conseils de l’ex-plaignante anonyme ne restent pas inactifs. Ils affirment que les enquêteurs de Jay-Z ont harcelé et menacé leur cliente. Ils déclarent que cette dernière maintient ses affirmations. Les avocats vont même plus loin en accusant les enquêteurs de Jay-Z de tentative de corruption. Source
Consentement en Question : Un Procès pour Viol en Moselle
La cour criminelle de la Moselle examine aujourd’hui un dossier sensible de viol. Ce cas met en lumière les ambiguïtés du consentement dans les relations sexuelles. Tout commence avec une rencontre via l’application Fruitz, créée en 2017 par des Français. Cette application, classée deuxième après Tinder, promettait de clarifier les intentions des utilisateurs dès l’inscription. Chaque fruit symbolisait un type de relation : la cerise pour trouver l’âme sœur, le raisin pour un verre sans engagement, et la pastèque pour des « câlins récurrents sans pépin ».
Cependant, cette clarté apparente n’a pas empêché un rendez-vous de tourner au drame. Le 5 mars, la cour doit trancher sur une affaire complexe. Les utilisateurs de Fruitz pensaient éviter les malentendus, mais la réalité est plus nuancée. Le consentement, notion centrale dans ce procès, reste souvent flou. Les intentions affichées sur l’application ne garantissent pas une compréhension mutuelle.
Ce procès soulève des questions cruciales sur la responsabilité des applications de rencontre. Doivent-elles mieux encadrer les interactions entre utilisateurs ? Les symboles utilisés suffisent-ils à prévenir les malentendus ? La justice devra déterminer si les intentions initiales peuvent justifier un acte non consenti.
L’issue de ce procès pourrait redéfinir les contours du consentement dans les rencontres en ligne. Les applications comme Fruitz devront peut-être revoir leur fonctionnement. En attendant, le débat reste ouvert. Source
Un gynécologue à la retraite jugé pour viols et agressions sexuelles sur 112 patientes
Un gynécologue à la retraite comparaîtra devant la cour criminelle départementale du Val-d’Oise pour répondre à des accusations de viols et agressions sexuelles sur plus d’une centaine de patientes. L’homme de 74 ans, Phuoc-Vinh Tran, est accusé d’avoir commis 92 viols et 25 agressions sexuelles. Les faits ont été rapportés par 112 patientes, qui ont décrit des gestes similaires et circonstanciés.
L’affaire a débuté en 2013 lorsqu’une femme a déposé plainte après une consultation chez le docteur Tran. Les enquêteurs ont ensuite contacté l’ensemble de sa patientèle, et plus de 100 femmes ont déposé plainte. Les témoignages décrivent des gestes inappropriés, tels que des mouvements de va-et-vient répétés avec les doigts à l’intérieur du vagin, accompagnés de caresses sur le ventre, le pubis, les cuisses, les fesses, voire le clitoris. Ces actes ne peuvent être considérés comme des gestes médicaux, selon le parquet de Pontoise.
Le praticien a toujours nié les faits, affirmant exercer la gynécologie avec douceur ou selon une méthode asiatique. Cependant, la juge d’instruction a souligné le caractère sériel des actes reprochés et leur nature sexuelle. Le gynécologue a contesté les accusations, accusant les plaignantes de chercher à nuire à sa réputation. Né au Vietnam et ayant fait ses études en France, il a déploré que ses actes aient été mal interprétés par les patientes.
Après plus de dix ans de procédure judiciaire, nombre des plaignantes se sentent abandonnées. Elles n’ont pas le sentiment d’être reconnues comme victimes ou parties civiles. Leur avocat, Me Franck Levy, a exprimé leur frustration face à la durée de la procédure et leur colère envers la justice et la médecine.
Le procès, qui s’annonce long, permettra de faire la lumière sur cette affaire. Les parties civiles ont découvert que le Dr Tran n’était plus sous contrôle judiciaire depuis juin, ce qui a suscité des craintes de fuite vers le Vietnam. Le parquet de Pontoise avait requis le non-lieu pour 36 autres plaignantes, en raison de la prescription des faits. Source
Viol d’une fillette de 4 ans à Font-Romeu : le suspect libéré sous contrôle judiciaire
Un employé d’accueil d’un hôtel de Font-Romeu, mis en cause pour le viol d’une fillette de 4 ans, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Les magistrats de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier ont pris cette décision le mardi 5 mars 2025. L’homme de 53 ans, incarcéré dès le lendemain de l’agression, clame son innocence.
Les faits remontent à la nuit du 14 au 15 février. Un père de famille et sa fille de 4 ans séjournaient dans cet hôtel de la station de ski des Pyrénées-Orientales. Pendant que le père était sorti boire un verre au bar de l’hôtel, puis dans un autre établissement, la fillette aurait été violée dans leur chambre fermée à clé. À son retour, le père a retrouvé sa fille en état de choc et en larmes. Elle a déclaré avoir subi des violences sexuelles de la part « du monsieur de l’hôtel », sans toutefois le reconnaître sur les photos présentées par les enquêteurs.
L’employé, inconnu de la justice, a toujours nié les faits. Les enquêteurs ont établi que la fillette avait bien subi une agression sexuelle. Cependant, l’identité de l’agresseur reste à déterminer. Des tests ADN ont été réalisés, et les résultats, encore inconnus, seront cruciaux pour la suite de l’enquête. Source