Rennes : Un Multirécidiviste Mis en Examen pour Viol et Meurtre
Un homme de 40 ans, déjà condamné 24 fois, a été mis en examen pour le viol et le meurtre d’une femme de 73 ans à son domicile à Rennes. Le corps de la victime, retrouvé le 26 mars dernier, présentait des signes de violence extrême. Le suspect a été placé en détention provisoire.
Le parquet de Rennes a annoncé ce mercredi 2 avril la mise en examen d’un individu de 40 ans. Ce dernier est soupçonné d’avoir violé et tué une femme âgée de 73 ans. Le corps de la victime, découvert à son domicile, était « largement dénudé ». Son visage, tuméfié et couvert de sang, portait les traces de multiples traumatismes.
Le suspect, déjà condamné à 24 reprises, a été placé en détention provisoire. Cette affaire soulève des questions sur la récidive et la gestion des criminels multirécidivistes en France. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes du crime.
Le mis en cause, connu des services de police, avait un lourd passé judiciaire. Sa mise en examen intervient après une série de condamnations pour divers délits. Les habitants de Rennes sont sous le choc, et la sécurité dans la ville devient une préoccupation majeure.
Les proches de la victime sont dévastés par cette tragédie. Ils appellent à une justice exemplaire pour que de tels actes ne se reproduisent plus. La communauté locale se mobilise pour soutenir la famille endeuillée et demander des mesures plus strictes contre la récidive.
L’affaire continue de faire l’objet d’une enquête approfondie. Les autorités promettent de faire toute la lumière sur ce crime odieux. En attendant, le suspect reste en détention provisoire, sous la surveillance étroite des forces de l’ordre. Source
Viol en plein jour à Grenoble : une adolescente agressée dans le parc Paul-Mistral
Lundi 31 mars, une adolescente de 15 ans a été victime d’un viol en plein jour dans le parc Paul-Mistral à Grenoble. Vers 13h30, un passant a alerté les sapeurs-pompiers après avoir découvert la jeune fille en larmes et en état de choc près du monument aux morts « Aux Diables Bleus ». La victime a raconté avoir été agressée par un homme ivre qui l’a poussée dans un buisson avant de lui infliger des attouchements sexuels, allant jusqu’à une pénétration digitale. L’agresseur a ensuite pris la fuite.
La jeune fille a été secourue et conduite à l’hôpital couple-enfant de La Tronche. Les policiers de Grenoble, alertés, ont quadrillé le secteur pour retrouver l’auteur du viol, mais sans succès. Une enquête a été ouverte par le service local de police judiciaire (SLPJ) de Grenoble pour identifier l’agresseur. Source
Violence Sexuelle : Peine Maximale Requise pour un Agression Brutale
Ce jeudi 3 avril 2025, l’avocate générale a requis quinze années de réclusion criminelle, soit la peine maximale, contre un homme de 48 ans. Ce dernier est jugé pour viol avec violence. L’accusé avait cassé la mâchoire de sa partenaire parce qu’elle refusait un acte sexuel. Après la plaidoirie de la défense, le verdict est attendu en milieu de journée.
Le procès se déroule devant la cour criminelle de la Sarthe. La matinée de ce jeudi est consacrée aux plaidoiries des avocats et au réquisitoire du ministère public. L’accusé reconnaît les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail de 39 jours. Cependant, il nie le viol.
Les faits remontent à la nuit du 25 au 26 décembre 2026 à Coulaines. L’homme avait violemment agressé sa partenaire, lui causant une fracture de la mâchoire. Cette affaire soulève des questions sur la violence sexuelle et les peines encourues.
L’avocate générale a insisté sur la gravité des faits et la nécessité d’une peine exemplaire. La défense, quant à elle, a plaidé pour une peine plus clémente, arguant que l’accusé n’avait pas l’intention de commettre un viol. Le verdict, attendu avec impatience, pourrait marquer un tournant dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Source
Affaire Bétharram : 48 nouvelles plaintes pour violences sexuelles et physiques
Le collectif des anciens élèves de l’institution de Notre-Dame de Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques, a déposé 48 nouvelles plaintes ce mercredi 2 avril au parquet de Pau. Ces plaintes portent sur des violences physiques et sexuelles, dont un cas de viol en réunion. Le nombre total de plaintes s’élève désormais à 200.
Les témoignages recueillis sont accablants. Parmi les 48 nouvelles plaintes, 20 concernent des violences sexuelles. Les faits décrits sont d’une extrême gravité : agressions sexuelles, fellations forcées, et même un viol en réunion. Ce dernier cas implique l’introduction d’un petit bâton dans l’anus d’un enfant de 14 ans par le père directeur et un autre prêtre.
Les sévices corporels ne sont pas en reste. Les témoignages évoquent des coups de javelot sur un enfant de 8 ans, des coups de bambou sur le derrière nu d’un élève, et des supplices infligés pendant la nuit. Les victimes rapportent également des gifles, des coups de pied et des coups sur la tête.
Ces nouvelles plaintes proviennent de toute la France, mais aussi de l’étranger, notamment du Canada et de la Suisse. Elles viennent alourdir un dossier déjà inédit par son ampleur. Le collectif des anciens élèves continue de se battre pour que justice soit rendue. Source
Condamnation de Dani Alves annulée : le parquet se pourvoit en cassation
Le parquet espagnol a annoncé ce mercredi 2 avril son intention de se pourvoir en cassation. Cette décision fait suite à l’annulation en appel de la condamnation de Dani Alves. L’ex-star du FC Barcelone et du PSG avait été condamnée à quatre ans et six mois de prison pour le viol d’une jeune femme en 2022.
L’affaire Dani Alves est loin d’être terminée. Le parquet de la Communauté autonome de Catalogne a exprimé son désaccord avec l’arrêt de la cour d’appel de Barcelone. Cette décision avait suscité de vives réactions. Le 28 mars, la cour d’appel avait annulé la condamnation de l’ancien international brésilien. Les juges avaient pointé le manque de «fiabilité» de la plaignante, âgée de 23 ans au moment des faits. Dani Alves était en liberté conditionnelle depuis un an, après avoir passé 14 mois en prison.
La décision de la cour d’appel a été vivement critiquée par les associations féministes. Plusieurs membres du gouvernement de gauche de Pedro Sánchez ont également exprimé leur désaccord. La ministre du Budget, María Jesús Montero, avait qualifié la décision de «honteuse». Elle avait affirmé qu’il était inacceptable de remettre en question le témoignage d’une victime. Depuis, elle a nuancé ses propos, notamment face aux critiques de l’opposition.
La porte-parole du gouvernement, Pilar Alegría, a défendu la position du gouvernement. Elle a souligné que le respect de la justice n’empêchait pas d’avoir un avis sur les décisions judiciaires. Lundi soir, des centaines de personnes se sont rassemblées à Barcelone. Elles ont protesté contre l’annulation de la condamnation de Dani Alves, scandant «Moi je te crois».
Le Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ) a apporté son soutien aux magistrats. Il a rappelé que la révision des décisions par des tribunaux supérieurs faisait partie de la normalité de l’État de droit. Le CGPJ a insisté sur l’importance de la présomption d’innocence. Il a également souligné la responsabilité des représentants politiques de concilier critique et confiance dans les institutions. Source
Gérard Depardieu accusé : Vahina Giocante témoigne d’agressions sexuelles
L’actrice Vahina Giocante a témoigné vendredi sur Facebook, au lendemain du procès de Gérard Depardieu pour « agressions sexuelles ». Elle affirme avoir été témoin de comportements inappropriés de l’acteur sur plusieurs tournages.
Vahina Giocante, qui a partagé l’écran avec Gérard Depardieu à plusieurs reprises, a exprimé son malaise face aux accusations portées contre l’acteur. « Cela fait quelques jours que je suis l’actualité te concernant avec une gêne intense, un inconfort profond et un certain dégoût », a-t-elle écrit. Elle décrit des scènes où Depardieu aurait commis des agressions sexuelles et tenu des propos déplacés.
« Je l’ai vu de mes yeux, fourrer ses mains sous des jupes de figurantes muselées par la peur et la sidération », raconte-t-elle. Elle ajoute avoir vu l’acteur faire pleurer des techniciennes et des jeunes actrices, tout en proférant des obscénités.
Dans son message, Giocante critique la défense de Depardieu, le qualifiant de « monstre prédateur ». Elle regrette que l’acteur n’ait pas reconnu ses torts et déplore le choix de son avocat, qu’elle décrit comme « venu des enfers ».
Giocante apporte son soutien aux plaignantes et espère que ce procès contribuera à redresser notre société. Le parquet a requis 18 mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende contre Depardieu, ainsi qu’une obligation de soins psychologiques et l’inscription au fichier des auteurs d’infractions sexuelles. Source